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Sécurité à Genève: la criminalité prend à nouveau l’ascenseur  

En 2022, Genève a connu une augmentation de 15% des infractions au Code pénal par rapport aux années précédentes. Toutes les catégories sont concernées : des vols de vélos électriques aux infractions avec violence grave en passant par les brigandages et les effractions dans les commerces.

Hier 27 mars, la police cantonale – par la voix de sa commandante, Mme Bonfanti, et de son magistrat de tutelle M. Poggia – s’est livrée à la présentation annuelle des chiffres de la criminalité pour l’année dernière. Or, le constat est sans appel : malgré une accalmie lors des « années COVID » de 2020 et 2021, marquées par les confinements, la criminalité a augmenté à mesure que la page de la pandémie se tournait. Ainsi, on constate pour 2022, une hausse de 14% des cambriolages et une augmentation conséquente des vols sur la voie publique ainsi que des vols de vélos électriques et de voitures.

Plus grave encore, les infractions avec violence grave (les homicides ou tout acte entraînant des lésions corporelles ou toute autre atteinte grave à la victime, tels que certains brigandages, prises d’otage ou encore les viols) ont bondi de 8%. Quant aux infractions contre l’intégrité sexuelle, celles-ci ont augmenté de 19% à Genève (soit plus que la moyenne générale de l’augmentation des infractions). En outre, la police constate que les violences ont davantage touché les jeunes, avec notamment une recrudescence des tentatives d’homicide commises par des mineurs.

Finalement, le préjudice total causé par les arnaques en ligne (petites annonces frauduleuses, faux supports techniques etc.) a atteint 34 millions de francs en 2022 contre 12 millions pour 2021, signe que le phénomène ne se raréfie pas malgré les efforts déployés par les policiers pour contrer la cybercriminalité.

Genève au-dessus de la moyenne nationale : résultat d’une politique laxiste ne sachant pas où mettre les priorités

L’augmentation de la violence à Genève dépasse de 5 points la moyenne nationale. De plus, d’après les statistiques tirées des données du rapport de la police cantonale, plus de 68% des infractions au Code pénal sont le fait d’étrangers, en tête desquels des individus originaires de France (plus de 20%) et du Maghreb (plus de 15%).  

Pour l’UDC, la cause est à chercher dans le laxisme politique général dont fait preuve le Conseil d’Etat actuel : la frontière est une véritable passoire et les criminels étrangers – qui sont surreprésentés, notamment dans les crimes à caractère sexuel – ne sont que rarement expulsés.

« Il est intolérable que la prospérité de Genève devienne la proie d’étrangers moyenâgeux qui se comportent comme de véritables pillards venus faire leur razzia. Il faut permettre à la police de faire son travail dans de bonnes conditions, notamment en procédant à l’expulsion systématique des criminels étrangers – comme le peuple l’a décidé en acceptant l’initiative populaire portée par l’UDC. C’est seulement par l’application d’une politique stricte de tolérance zéro que l’on enverra un message clair à ceux qui veulent détrousser, violenter et terroriser les Genevoises et les Genevois » s’exclame Céline Amaudruz, présidente de l’UDC Genève.  

Pour renforcer la sécurité à Genève et pour que la peur change de camp, votez UDC (liste 10), le 2 avril prochain au Grand Conseil et au Conseil d’Etat !

 

Pour tous renseignements :

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale, 079 874 83 97

Cédric Pilatti, candidat au Grand conseil, 076 416 37 16

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