Le deal de rue et l’immigration massive sont liés, mettons fin aux deux maintenant

Genève est victime de deux phénomènes en expansion qui se complètent et s’alimentent mutuellement : l’expansion de plus en plus grande de la scène de la drogue et le renforcement toujours plus facile des réseaux qui contrôlent ce marché illégal. Face à ce double laxisme, l’UDC exige une politique ambitieuse.

La criminalité augmente à Genève, n’en déplaise à celles et ceux qui tentent de se convaincre du contraire. La semaine passée, un nouvel homicide en lien avec le deal de drogue a encore eu lieu dans notre ville. L’insécurité augmente aussi rapidement que la dépendance sociale des consommateurs de drogues qui deviennent ainsi des poids à la charge de la collectivité.

A Genève comme en Suisse, le deal de rue et les réseaux de trafiquants sont tenus par des cartels et des gangs étrangers qui opèrent facilement à travers des frontières rendues passoires au nom de l’universalisme et du multiculturalisme. Ces mêmes gangs et cartels peuvent aussi compter sur la naïveté, la tolérance et même – nous l’affirmons à l’UDC – la complicité passive de ceux qui refusent de combattre les cartels étrangers en hurlant au racisme et à la xénophobie.

Les Genevois sacrifient donc leur sécurité et leur porte-monnaie à cause de l’inaction des autorités politiques qui redoutent les accusations de racisme d’une gauche qui tolère que ces trafiquants de mort opèrent dans nos rues.

Lutter contre l’immigration, c’est lutter contre le trafic de drogue

Aux yeux de l’UDC, l’immigration massive – notamment celle qui arrive par les voies de l’asile et la clandestinité – et les frontières ouvertes ont conduit à l’explosion de la scène de la drogue. Les gangs criminels ont bien compris que notre tolérance était notre faiblesse et ils ont ainsi pu profiter de largesses inadmissibles qui ont compris la sécurité de nos rues et qui alourdissent les charges sociales causées par des consommateurs rendus incapables de travailler.

L’UDC propose les mesures suivantes pour enrayer la criminalité due aux stupéfiants :

  • Reprendre en main nos frontières afin de lutter efficacement contre la criminalité importée.
  • Reprendre en main notre immigration, notamment en matière d’asile et de clandestinité.
  • Renvoyer les criminels étrangers, notamment en ne tolérant aucune dérogation pour des criminels issus des gangs qui contrôlent le trafic de drogue.

Notre parti est absolument convaincu qu’en cessant de mener des politiques migratoires hypocrites et laxistes, nos rues trouveraient rapidement plus de sérénité et de sécurité. L’UDC demande au Conseil d’Etat de sortir de la léthargie qui a prévalu jusqu’à ce jour et de ne plus tolérer que le sang coule à nouveau dans nos rues et que nos œuvres sociales soient menacées par la prise en charge des personnes rendues inaptes au travail à cause de la drogue.

 

Pour tout renseignement

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale : 079 874 83 97

Alexandre Chevalier, président UDC Ville de Genève : 078 748 05 70

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