En cette journée marquée par l’activation du dispositif Stick’AIR à Genève, il est impératif de mettre en lumière l’absurdité crasse de cette mesure : une opération qui prétend agir face à la pollution, mais qui en réalité frappe les moins privilégiés.
– Aucun impact tangible : Stick’AIR, loin d’être une réponse efficace, ne produit aucun effet mesurable. Ce tour de passe‑passe administratif sert avant tout à afficher un vernis écologique, sans résultats concrets sur la qualité de l’air ou la santé publique.
– Mesure profondément anti‑sociale : En ciblant les véhicules les plus anciens, cette politique jette la population modeste dans une double peine : impossible d’acquérir une voiture récente, impossible de circuler. À vouloir incarner la justice verte, on stigmatise les moins favorisés.
– Injustice faite aux professionnels : Les travailleurs indépendants, livreurs, artisans, tous ceux qui dépendent de leur véhicule pour exercer ne sont pas compensés de manière adéquate. C’est une punition qui frappe l’activité économique utile, alors même que la « gratuité » affichée ne compense rien.
– Une politique punitive et intransigeante : Les sanctions bien réelles s’abattent sur des citoyens déjà fragilisés, avant même qu’un véritable soutien ou plan alternatif de mobilité ne soit proposé.
Le double langage des Verts
Dans notre canton, où l’on punit les conducteurs en difficulté, certains représentants verts affichent pourtant un comportement profondément contradictoire. À l’image d’une élue verte d’un autre canton qui prend l’avion pour des vacances à Oman, un voyage « court-courrier » en totale contradiction avec la ligne politique qu’elle défend.
Pour en finir avec ces politiques punitives et incohérentes, le 28 septembre prochain, soutenez Lionel Dugerdil, le choix du bon sens au service de Genève.
Pour plus d’informations
– Alexandre Chevalier, président ad intérim UDC Genève – 078 748 05 70
– David-Peter Lê, président ad intérim UDC Genève – 079 963 24 35
