Quel genre d’extrémistes produisent nos universités ?

Une jeune élue socialiste fait les gros titres après avoir adressé un majeur au drapeau suisse pour « fêter » le 1er Août à sa façon. Ce pur produit des auditoires vient illustrer la réalité de cursus académiques transformés en incubateurs à ennemis de la démocratie.

Conférences sabotées, intellectuels et personnalités politique agressés… L’UDC Genève dénonce régulièrement la dérive terrifiante de nos universités, transformées en véritables bastions du wokisme. Au cœur de l’actualité du 1er Août, le doigt d’honneur adressé au drapeau helvétique par l’élue socialiste Mathilde Mottet révèle une nouvelle fois ce triste constat.

Un rapide survol de son profil indique que cette militante valaisanne, ancienne vice-secrétaire centrale de la Jeunesse socialiste suisse (JS), a étudié les relations internationales à l’Université de Genève, où elle a même modéré des débats aux côtés de l’évêque Mgr Morerod pendant la semaine des droits humains en 2018.

Brillant parcours, sans doute, mais pour quel résultat ? Pour finir par annoncer que les drapeaux helvétiques la font « gerber » et que « la Suisse aussi est basée sur l’exclusion des personnes qui ne correspondent pas au moule de la norme dominante. » Est-ce bien là ce que la population est en droit d’attendre comme produit de nos hautes écoles ? Les camarades socialistes de Mathilde Mottet partagent-ils sa haine de la Suisse ?

Cette nouvelle provocation reflète le formatage idéologique inquiétant que les sciences humaines proposent dans nos universités. Ces lieux ne sont pas seulement ceux où une conseillère nationale, comme Céline Amaudruz, peut se faire agresser sous couvert d’entartage. Ce sont aussi ceux où, tranquillement, les extrémistes apprennent à cracher demain sur le drapeau qui garantit leur liberté.

Seule à oser dénoncer le climat antidémocratique qui sévit dans nos universités, l’UDC appelle le rectorat à veiller à ce que les cursus en sciences humaines cessent de servir d’usines à extrémistes. Pays de liberté et de droits de l’Homme, la Suisse n’a pas à subir les affronts de militants radicaux, qu’ils soient diplômés ou non.

 

Pour tout renseignement

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale: 079 874 83 97

Michael Andersen, député et candidat au Conseil national : 079 330 40 72

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