Face à la hausse dramatique des violences domestiques, l’UDC Genève appelle le Conseil d’Etat à dire la vérité sur les causes réelles de la catastrophe.
« Lutter dès le plus jeune âge contre les stéréotypes de genre ». Voilà tout ce que la conseillère d’État PLR Nathalie Fontanet trouve à nous proposer face à la situation dramatique des femmes à Genève !
Cette semaine, un rapport officiel vient de démontrer qu’en 2022, les infractions pénales pour violences domestiques ont augmenté de 3% par rapport à 2021 : pas moins de 1743 situations graves ont ainsi été recensées, avec une majorité écrasante de femmes (81%) parmi les victimes !
Pourtant, le canton ose parler d’une hausse « légère » et promet d’« analyser le caractère genré des violences pour mieux les prévenir ». Un tel charabia universitaire, face à l’insécurité subie par les femmes genevoises, relève du mépris pur et simple !
Alors que les interventions de police atteignent un nombre record – 789, du jamais vu depuis 2010 – ce n’est pas de thèses en science sociale dont la population a besoin, mais d’une réelle maîtrise de l’immigration. A moins de défendre coûte que coûte une idéologie que les faits condamnent, nul ne peut ignorer les causes culturelles, islamiques notamment, de la violence domestique.
Parti de la liberté, l’UDC Genève s’engage pour défendre les femmes face à l’échec du multiculturalisme. Elle demande par conséquent au Conseil d’État de dire toute la vérité sur les violences domestiques, notamment sur les origines de leurs auteurs.
Pour tout renseignement :
Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale : 079 874 83 97