(Communiqué de presse UDC-Genève – Genève, le 27 juillet 2022) L’UDC genevoise se félicite de la décision prise par le ministre de l’Intérieur français de prolonger de cinq ans l’interdiction de territoire prononcée à l’encore de Hani Ramadan. En avril 2017, l’homme avait été frappé d’une telle mesure pour avoir « adopté un comportement et tenu des propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public sur le sol français ». Manifestement, la France ne voit pas dans Hani Ramadan un homme assagi susceptible de fouler son sol. Par sa décision, le ministère de l’Intérieur considère au contraire que la menace que le personnage représentait en 2017 demeure, ce qui entraine logiquement le maintien de la mesure d’éloignement.

Hani Ramadan estime que le ministre français obéit « aux lobbies argentés qui affirment que l’armée israélienne est la plus morale du monde et qui se taisent sur les massacres perpétrés contre les civils palestiniens », ajoutant qu’il « il ne sera jamais question pour nous de délaisser la critique du sionisme sous prétexte que nous serions antisémites ». La haine d’Israël est une constante chez lui, ce qui devrait pour le moins inquiéter.

Hélas, à Genève, il n’en est rien. La clairvoyance française contraste cruellement avec la cécité du monde politique qui est volontiers aux petits soins avec un homme favorable à la lapidation des femmes adultères, considérant d’une manière générale toute femme non voilée comme une pièce de monnaie passant de mains en mains. Nos autorités travaillent ainsi actuellement afin de permettre à cet homme haineux de tripler sa capacité de nuisance en rebâtissant son Centre islamique de Genève.

L’UDC genevoise espère sincèrement que la décision française et les commentaires que lui a apportés Hani Ramadan ouvriront les yeux de nos autorités même s’il convient de nourrir des attentes raisonnables donc faibles. Manifestement, la gauche s’accommode aisément de propos antisémites et misogynes lorsqu’ils sont tenus par Hani Ramadan.

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