06 mai 2018

Un grand merci aux 23’940 électeurs qui ont voté Yves NIDEGGER au 2ème tour

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L’UDC remercie les 23’940 électeurs qui ont voté pour Yves NIDEGGER au second tour de l’élection au Conseil d’Etat. Plus d’un électeur sur 4 a inscrit le nom du candidat UDC sur son bulletin de vote, soit 4’440 électeurs de plus qu’au premier tour (19’500 voix). Ce score (26,4%), qui dépasse très nettement le cercle des électeurs UDC et représente le résultat le plus élevé jamais obtenu par un candidat UDC dans une élection au Conseil d’Etat genevois, témoigne de la confiance d’une part significative des électeurs du canton envers la personnalité d’Yves NIDEGGER mais aussi le programme de l’UDC dont il était le seul représentant au second tour.
 
L’UDC sait qu’en dépit des performances personnelles de ses candidats, elle restera hors du Conseil d’Etat tant que l’UDC sera seule à appeler à voter pour un candidat UDC, alors que les autres formations regroupent leurs forces. Tirant les leçons de ce constat, l’UDC va s’employer durant la prochaine législature à constituer une alliance, soit avec le MCG avec lequel elle partage le thème commun du contrôle de la frontière, soit avec le PLR avec lequel elle partage la conviction que l’économie libérale et une fiscalité modérée sont sources de vraie prospérité.
 
L’UDC félicite le PLR pour avoir su conserver ses deux sièges au Conseil d’Etat mais lui reproche amèrement d’avoir contribué à livrer le Canton à une majorité de gauche en s’obstinant, de plus sans conviction, à prétendre sauver le siège de Luc Barthassat dont tous savaient qu’il ne faisait plus rêver les électeurs.
 
A l’inverse, une collaboration électorale avec l’UDC aurait permis à la droite trahie de conserver une majorité au Conseil d’Etat. Cette faute politique est d’autant plus grave pour Genève que la majorité de gauche issue des urnes va enterrer pour cinq ans tout espoir de réduire le nombre délétère des fonctionnaires cantonaux, alors que cette réduction serait parfaitement possible aujourd’hui sans licenciement ni baisse de prestations par l’effet combiné de la démographie (la génération du baby-boom arrive massivement à la retraite) et de la numérisation de l’administration. Cet échec est lourd de conséquences : l’opportunité historique de cette législature est perdue et ne se représentera pas.